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stéphane courtois - Page 3

  • Les hommes et la guerre...

    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n°52, janvier-février 2011). Le dossier central est consacré à la guerre. On peut y lire, notamment, des articles d'Hervé Coutau-Bégarie ("S'instruire pour vaincre"), de Bernard Lugan ("La préhistoire de la guerre"), de Dominique Venner ("Du poème de la guerre à l'âme européenne"), de Guy Chambarlac ("Les femmes et la guerre"), de Bruno Colson ("Et Napoléon inventa la guerre moderne") et de Charles Vaugeois ("L'avenir de la guerre").  Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un article de Jean-Michel Baldassari consacré à Houellebecq ("Michel Houellebecq, une époque déjantée"), entretien avec l'historien du communisme, Stéphane Courtois, ainsi que la chronique de Péroncel-Hugoz.

     

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  • Retour sur la guerre d'Espagne...

    Les éditions du Cerf viennent de publier dans leur collection Politique, dirigée par Stéphane CourtoisLa guerre d'Espagne, de l'historien américain Stanley G. Payne. Sous-titré L'histoire face à la confusion mémorielle, l'ouvrage a l'ambition de fournir une synthèse dépassionnée et sereine sur ce conflit dont l'étude est depuis soixante-dix ans un champ de bataille idéologique. Il est préfacé par Arnaud Imatz, auteur d'une étude de référence sur José Antonio Primo de Rivera et la phalange et qui a dirigé l'ouvrage colllectif intitulé La guerre d'Espagne revisitée (Economica, 1993). 

     

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    La guerre d'Espagne, qui divisa si profondément l'opinion publique à la veille de la Deuxième Guerre mondiale, n'a jamais cessé de hanter la mémoire collective et de nourrir les interprétations les plus diverses. Au lendemain de la dictature franquiste, pendant les mémorables années de la « Transition démocratique », les historiens purent s'adonner librement aux recherches du domaine de leur connaissance. Un certain consensus émergea lentement sur les principales conclusions à tirer des événements. Mais très vite, l'accord fragile vola en éclats, victime des coups de boutoir de politiciens, de journalistes et de pseudo-historiens inconscients.

    Voilà déjà plus de dix ans que les controverses violentes sont de retour. La guerre civile espagnole est à nouveau un lieu privilégié d'affrontements partisans et de manipulations idéologiques ; elle est un véritable enjeu culturel pour les hommes politiques de la Péninsule.

    Paradoxalement, il est redevenu pressant de faire le point de façon sereine, rigoureuse et désintéressée, par-delà les thèses irréconciliables, partielles et réductrices. Le professeur Stanley Payne est de ceux qui se consacrent à rétablir les vérités les plus outrageusement bafouées. Historien prestigieux, reconnu internationalement comme l'un des meilleurs, sinon le plus grand, dans sa spécialité, il répond de manière dépassionnée et systématique aux questions les plus polémiques. Son livre est d'autant plus indispensable que le grand public français n'a jamais disposé jusqu'ici d'un semblable ouvrage de synthèse.

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  • Le bolchévisme à la française !

    Stéphane Courtois, l'homme qui a jeté, il y a treize ans, Le livre noir du communisme comme "un pavé dans l'histoire", publie aux éditions Fayard Le bolchévisme à la française, un ouvrage dans lequel il éclaire les liens étroits qui n'ont eu de cesse d'exister entre le parti communiste français et son modèle soviétique, jusqu'à sa disparition.

     

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    "Treize ans après la publication du Livre noir du communisme et à l’occasion du quatre-vingt-dixième anniversaire du Parti communiste français, Stéphane Courtois s’interroge sur la nature de ce qu’il nomme le « bolchévisme à la française », sur son adhésion au marxisme-léninisme et à l’URSS. Pourquoi et comment a pu prospérer, au cœur de la démocratie française, un parti étroitement associé à l’un des grands mouvements totalitaires du XXe siècle ?
    Pour répondre à cette question, l’auteur revient sur l’historiographie, rappelant combien elle est l’enjeu d’un conflit aigu entre une mémoire glorieuse et une histoire largement renouvelée par l’ouverture des archives de Moscou. Il aborde le rôle fondamental du bolchévisme et de l’URSS dans la création, en décembre 1920, du « Parti » et montre comment le modèle élaboré à Moscou s’est greffé sur le corps du socialisme français pour imposer en France un bolchévisme gallican. Il s’attache à la figure de ces staliniens français – Thorez, Duclos, Marchais entre autres –, membres de la nomenklatura communiste internationale, qui ont construit et dirigé le PCF durant des décennies. Enfin, il met en lien le déclin puis la mort du PCF avec la chute du mur de Berlin et de l’implosion de l’URSS."

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  • La Grande Terreur...

    La revue Vingtième Siècle éditée par les Presses de Science Po consacre son dernier numéro (n°107) à la Grande Terreur des années 1937-1938, épisode paroxystique de la terreur stalinienne. Parmi les contributeurs, on trouve notamment Nicolas Werth, qui avait collaboré au Livre noir du communisme dirigé par Stéphane Courtois, avec un article consacré au renouveau de l'historiographie de cette période. On pourra aussi lire des articles sur le rôle particulier de Iejov, le commissaire du peuple à l'intérieur ainsi que sur l'action du NKVD...

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  • Mythes et polémiques de l'histoire...

    Les éditions Studyrama ont publié en 2008 et 2009, sous la direction de Guillaume Bernard et Jean-Pierre Deschodt,  deux volumes de Mythes et polémiques de l'histoire. Il s'agit de réintroduire la dispute, le débat, en histoire, matière où les vérités officielles fleurissent... On trouvera, notamment, des contributions de Jacques Heers, Stéphane Courtois, Reynald Seicher, Rémi Kauffer ou Hervé Coutau-Bégarie... Une entreprise intéressante !

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    "Rassembler des textes de personnes aux options philosophiques et politiques différentes, voilà l’objet de cet ouvrage qui ne prétend nullement défendre une « thèse ». Dans cet ouvrage, chaque contributeur est l’égal d’un bretteur, libre de ses coups et de ses propos.

    Loin d’être un manifeste, ce travail restitue la libre critique, parfois polémique, que chaque auteur entend exprimer en traitant du mythe, de la légende ou de l’énigme historique qu’il voulait discuter: le Suaire de Turin, la chute de l’Empire romain, le roi Arthur, l’an mil, les croisades, l’Inquisition, les templiers, Jeanne d’Arc, l’assassinat d’Henri IV, la révocation de l’édit de Nantes, le masque de fer, la Révolution, les guerres de Vendée, la colonisation, le parti communiste et la résistance, Pie XII, le sionisme, l’idée européenne, l’information…"

    Sous la direction de Guillaume Bernard et de Jean-Pierre Deschodt, cet ouvrage rassemble des articles de : Máté Botos, Hervé Coutau-Bégarie, Stéphane Courtois, Alix Ducret, Pascal Geneau, Éric Georgin, Pascal Gourgues, Rémi Kauffer, Sabine de La Goutte, Jacques Heers, Jean-Marc Joubert, Pierre Ravaille, Christophe Réveillard, Reynald Secher, Guillaume de Thieulloy, Gilles Vaillant, Régis Verwimp.

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    "Vous avez été des milliers, l’année dernière, à lire le premier volume de Mythes et polémiques de l’histoire. Voici le deuxième ! A travers une quarantaine d’articles, ce sont des personnes et des organisations, des événements et des idées, des documents et des lieux qui sont passés au crible de la critique : les tombeaux égyptiens, Romulus et Remus, les druides, les frères de Jésus, Charlemagne, la papesse Jeanne, la ceinture de chasteté, la chute de Constantinople, Christophe Colomb, Nostradamus, la bête du Gévaudan, Louis XVII, Napoléon Ier, la chouannerie, Darwin, le droit d’asile, les maisons closes, De Gaulle, la sécurité sociale, les frontières…"

     

    Sous la direction de Guillaume Bernard et de Jean-Pierre Deschodt, cet ouvrage rassemble auteurs prestigieux et jeunes enseignants-chercheurs : Gérard Bedel, Christophe Camby, Pierre-Edouard du Cray, Yannick David, François-Georges Dreyfus, Alix Ducret, Pascal Geneau, Eric Georgin, Olivier Guillot, Jacques Heers, Jacques Henry, Jean-Marc Joubert, Marc Levatois, Diane Nicolas, Alain Paucard, Guillaume Perrault, Pierre Ravaille, Yves Sassier, Reynald Secher, Serge Schweitzer, Guillaume de Thieulloy, Gilles Vaillant, Mǎdǎlina Vartejanu-Joubert, Régis Verwimp et Jean-Louis Voisin.

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  • L'affaire de l'Humanité...

    Collaborateur de la revue Communisme, dirigée par Stéphane Courtois, et auteur d'un livre sur les listes noires du PCF, Sylvain Boulouque revient dans L'affaire de l'Humanité, publié aux éditions Larousse, sur les démarches entreprises par le parti communiste "français" à l'été 1940 auprès des autorités d'occupation allemandes pour faire reparaître l'Humanité en zone occupée. Un livre utile qui apporte un éclairage intéressant sur la réalité de la ligne politique de ce parti pendant la guerre. 

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    "Durant l’été et l’automne 1940, alors que se met en place l’occupation allemande en France, le Parti communiste envoie un émissaire à Paris auprès des autorités de la Wehrmacht pour négocier la reparution du journal l’Humanité. On est alors en plein pacte germano-soviétique… Cette démarche n’aboutira pas, mais cinq ans plus tard, à la fin de la guerre, le PCF, devenu le « parti des fusillés » et voulant effacer les errements de sa ligne avant d’être entré en résistance, fera porter la responsabilité de cette tentative, au seul émissaire, qui aurait agi de son propre chef. Maurice Tréand, jusqu’alors militant exemplaire, est ainsi lâché par son Parti. Trahi, abandonné, il sombre dans la dépression et meurt peu après. Pour la première fois, une biographie est consacrée à celui qui a, comme tant d’autres, sacrifié sa vie entière au communisme depuis sa jeunesse à Besançon jusqu’à sa mort dans le dénuement, en passant par Moscou et son école des cadres…."
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